Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008 pour la « découverte » du VIH, explique que le COVID serait une expérience pour lutter contre le VIH qui aurait mal tournée dans le laboratoire de Wuhan.
Il indique que le génome du virus contient une grande partie du VIH, inséré de manière artificielle. Il conforte ainsi l’avis de l’académie de médecine d’Inde d’il y a quelques semaines.
Bonne nouvelle, il estime que la nature est en train de nettoyer le virus en expulsant sa partie artificielle, ce qui explique toutes les mutations de celui-ci, et donc que la pandémie est appelée à se calmer.
Cela vient quelques jours à peine après l’article dans la revue Nature indiquant que le COVID détruit les lymphocytes T, « comme le VIH », à la seule différence qu’il ne les utilise pas comme usine pour se dupliquer mais qu’il disparaît avec le lymphocyte qu’il a infecté.
Il propose d’utiliser des traitements à base d’ondes pour aider le génome du virus des patients infectés à se détériorer.
Ceci explique peut-être pourquoi la Chine donne autant de mauvaises informations, et pourquoi l’OMS, de manière évidente, tentait de couvrir/cacher quelque chose. Et pourquoi autant de gens et de spécialistes meurent, en Chine et ailleurs.
(extrait de la revue de presse Facebook https://www.facebook.com/DublinFrenchInAsia, avec plusieurs dizaines de liens en commentaire)
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